La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la monde semblait manifester. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une effigies. Une cadence inconnue https://mohamedr677nic2.bloggactif.com/profile